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FORTE Patrice

«  Coach-Adjoint est plus simple, plus fonctionnel  »

Entraîneur de l’ambitieux club de Riorges en pays roannais, dans la Loire, qui évolue en 1ere division de district, Patrice Forte se régale a façonner une équipe visant les premières places. Un défi à la hauteur de l’enthousiasme de cet utilisateur du logiciel Coach-Adjoint.

 

Patrice, vous coachez une équipe qui a affiché en début de saison ses ambitions de monter à l’étage supérieur. Est-ce valorisant en tant que coach d’être à la tête d’un tel attelage  ?

C’est forcément valorisant d’autant que les dirigeants ont assigné à l’équipe de belles ambitions. Je vois le club évoluer, moi qui suis arrivé dans un club dont l’équipe se retrouvait en difficulté la saison dernière. J’ai appris à connaître mon groupe qui possède de la qualité. Nous avons un gros potentiel.

 

Vous sentez-vous attendus par vos adversaires  ?

Forcément, nous apparaissons comme l’équipe à battre car nous n’avons pas caché nos ambitions en début de saison. Mais nous avons la chance d’évoluer dans le groupe Forez et plaine. Nous n’avons ainsi pas trop de derbies à appréhender. Mais il est vrai que les clubs ont vu que nous avons recruté à l’intersaison, les équipes savent que nous voulons monter, savent que mon équipe joue au ballon et tentent alors de sortir un gros match face à nous.

 

Sentez-vous une pression s’abattre sur vos épaules  ?

Non, je ne ressens pas de pression. Je suis manager en entreprise dans la vie quotidienne, je suis donc quelqu’un qui gère bien la pression. Je suis également bénévole. C’est une notion très importante car ça me confère une certaine liberté. L’argent me rendrait redevable. Ce qui n’empêche pas que je suis les consignes et l’ordre de marche que me fixe les dirigeants.

 

Pour ce faire, avez-vous façonné un groupe qui vous convient  ?

Le groupe était déjà présent, il s’agissait d’une bonne base. Deux-trois joueurs sont également arrivés en même temps que moi. Puis, nous avons eu d’autres opportunités, comme la venue de joueurs venant d’autres régions. Nous avons ainsi accueilli sept joueurs tout en nous appuyant sur nos jeunes. Nous avons une belle génération de U19 qui peuvent monter en équipe première. L’avenir du club passera sûrement par la jeunesse et la formation. 

Comment faites-vous pour attirer de tels joueurs en Première division de district  ?

Le club est ambitieux et ça commence à se savoir. Nous disposons aussi de conditions de travail exceptionnelles avec deux terrains d’honneur, un terrain synthétique. Ça ne fait pas un argument pour recruter un joueur mais les gens du coin sont au courant et savent où ils mettent les pieds.

 

Vous avez décidé de prendre le logiciel Coach-Adjoint cette saison. Comment avez-vous découvert cet outil  ?

Tout simplement à travers une publicité. J’avais déjà fonctionné avec des logiciels de coaching mais je trouve que Coach-Adjoint est plus fonctionnel, plus simple dans son utilisation. C’est un bel outil, gratuit qui plus est. Mais je ne l’utilise pas au maximum de ses capacités faute de quelqu’un me prenant les stats pendant les matchs. J’ai été séduit par le logiciel assez rapidement au point que j’ai déjà parrainé plusieurs collègues. J’apprécie aussi particulièrement la présence des concepteurs. Ils sont très réactifs à la moindre question. C’est réellement un plus de se savoir épaulé et écouté.

 

On vous sent totalement impliqué dans cette mission.

La passion me guide toujours et je suis un compétiteur dans l’âme. Dès que je m’implique quelque part, je donne tout, j’ai une horreur viscérale de la défaite. Mais j’estime qu’un cycle de coach ne dure que trois ou quatre ans. Après, le discours lasse les joueurs. Mais en attendant, nous avons de beaux challenges à relever. Et puis, j’estime qu’il faut donner un plaisir, et donc avoir un management qui donne envie aux joueurs de s’impliquer. Le travail n’empêche pas la bonne ambiance.

 

A 43 ans, arrivez-vous a maturité  ?

J’étais un joueur moyen lorsque j’ai décidé de stopper ma carrière à 25 ans. J’avais trois enfants, plus trop le temps de jouer. Je me suis alors lancé dans le coaching avec des équipes de jeunes. J’ai alors coaché toutes les catégories mis à part les U15. Puis, j’ai basculé vers les seniors. C’est une suite logique à mon avis. Je ne me verrais pas revenir en arrière et reprendre une équipe de jeunes. Je me sens bien à la tête d’une équipe senior.

 

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